L’épanouissement de l’humain dépend en grande partie d’une sensation d’alignement et de sens dans ce qu’il vit au quotidien.
Plus tu es au clair mentalement, plus tu te sens en accord avec ce que tu expérimentes et réalises chaque jour, plus la vie te paraîtra fluide et agréable.
Plus tu sais et comprends qui tu es et ce que tu es capable de créer dans ce monde, mieux tu te sens (fierté de soi, amour inconditionnel, don de soi pour les autres).
Au contraire, si tu vis tes journées en les subissant et en ressentant une certaine déconnexion profonde dans ce que tu fais et comment tu le fais, tu seras progressivement gagné par la frustration jusqu’au point de perdre le sens de ton existence (avec toute la détresse et déprime que ça peut engendrer).
Cette nouvelle édition est ma façon à moi de te souhaiter une merveilleuse année. Je vais expliquer et prouver dans cet article pourquoi se lancer et réussir dans l’entrepreneuriat est plus simple que l’on croit.
Et montrer surtout comment une vie pleine de sens et d’épanouissement est accessible à nous tous. Tout en profitant d’un revenu financier plus que confortable.
Ma grande phobie à moi c’est de voir ma vie défiler et d’arriver à un certain âge et me dire “j’aurai dû oser ça, j’aurai pu faire ça, j’ai raté le train…”.
Je me donne donc comme mission dans les prochaines lignes de vous éviter de rejoindre les 99% de gens qui ne tiendront pas leurs fameuses résolutions de début d’année.
Et surtout une catégorie en particulier : ceux qui se sont promis d’enfin se lancer et créer ce projet qui leur tient tant à cœur depuis si longtemps… mais qui ne passeront encore pas à l’action cette année.
Ceux qui ont de merveilleuses idées et intentions mais qui finissent par tristement conclure “que ce n’est pas le bon moment” ou “que ce n’est pas fait pour eux”.
Si tu te reconnais dans ces mots et que tu veux rejoindre les 4 premiers inscrits à mon programme d’entrepreneuriat de 60 jours (que j’ai appelé “Spiritual Business”), tu peux réserver un appel avec moi juste ici.
Oser écouter et suivre le cri du coeur
Je me souviendrais toute ma vie de ce trajet de 1h15 dans le RER D.
Il était 7h30 du matin et je me pressais pour être sûr d’arriver à l’heure pour le “Weekly Meeting” avec notre client.
On est en 2015. J’étais en apprentissage dans un cabinet de conseil et on m’avait fait confiance pour une mission de junior dans une grande banque française.
Le vide profond que je ressentais sur ce trajet avait glacé toutes les cellules de mon corps.
Le temps de route était suffisamment long pour me permettre de méditer sur cette question essentielle qu’on s’est tous posés d’une façon ou d’une autre : “C’est ça la vie et le fameux BOULOT ? “
Je me rendais compte que je prenais un transport en commun que je détestais pour aller chez un client que je détestais pour mener une mission que je détestais sur une thématique (ennuyeuse à mourir) que je détestais pour refaire le même trajet le soir même dans un même transport que, vous l’avez compris maintenant, je détestais.
Avec comme cerise sur le gâteau, une indifférence totale du client pour mon travail et celui de mon équipe car je cite : “il y a des budgets qu’on devait dépenser donc on vous paie pour gentiment faire des slides”.
Les larmes aux yeux, ce matin-là, je me suis promis que je ne subirai jamais ce fameux boulot. Et que je ne suivrai pas le modèle classique de notre s’il impliquait d’être profondément triste et frustré.
Refuser le statut quo
Si tu ne te sens pas sincèrement aligné et épanoui dans ta vie, le point de départ est un refus de l’état pseudo-normal des choses.
Tu as un droit naturel à la liberté et à la flexibilité dans ton quotidien.
Nous ne sommes pas nés pour qu’on nous dise toute notre vie comment travailler, quand prendre nos vacances et à quelle heure on a le droit d’aller voir nos enfants et de faire pipi (petite touche humoristique de la rédaction…)
J’ai beaucoup de gratitude pour ce trajet de RER et mon alternance en cabinet de conseil parce qu’ils m’ont permis d’avoir la certitude de ce que je ne voulais pas dans ma vie.
Le point de départ de mon aventure entrepreneuriale est finalement un gigantesque refus de la tristesse et de l’autorité, couplés à une profonde envie de sentir et voir l’impact de ce que je fais au quotidien pour les autres.
J’aimerais t’inviter aujourd’hui plus que jamais à oser te lever et crier un grand “NON” à la frustration et au manque de sens.
A oser remettre en question, avec confiance, la matrice dans laquelle la majorité d’entre nous a grandi.
Celle des injonctions familiales et sociétales qui nous font croire qu’il n’y a qu’une seule voie dorée à suivre et qui nous privent de révéler notre puissance créatrice et incarner notre raison d’être.
J’en profite pour te rappeler cet aspect fondamental et naturel inscrit dans notre ADN à tous : la capacité à créer.
J’en avais parlé longuement dans cette édition qui avait beaucoup plu sur l’ikigai revisité.
L’humain est un créateur qui adore jouer, explorer, découvrir et apprendre de nouvelles choses.
Le mettre dans une case en le faisant croire qu’il est fait pour un seul job ou une carrière donnée toute sa vie est un manque de respect total pour son potentiel divin.
Nous sommes des êtres complexes infiniment talentueux avec des intérêts multiples et des expériences de vie variées.
Si tu t’es dit un jour que tu étais capable de plus et que tu avais plein d’idées qui pourraient servir notre humanité, sache que c’est très sain et surtout vrai.
Ce qui est moins cool c’est de faire taire cette voix de création et de créativité qui est toujours là. En se laissant souvent gagner par la peur.
Faire face à la peur avec courage
La liberté, la flexibilité et l’épanouissement offerts par l’entrepreneuriat sont très attirants.
Mais beaucoup de gens restent bloqués et n’osent jamais se lancer à cause de la peur.
La peur d’échouer. La peur du manque. La peur de ne pas subvenir aux besoins de sa petite famille. La peur d’être jugé et j’en passe.
Je les connais toutes.
Et comme on se dit tout ici, ces peurs m’ont poussé plusieurs fois à remettre en question mon aventure entrepreneuriale pendant mes 5 ans de business (même s’il était rentable chacune de ces années).
Ces peurs sont normales.
Elles font partie de notre expérience humaine et quand elles sont accueillies et adressées de la bonne manière, elles se transforment en source d’énergie et d’action.
Il est essentiel aussi de faire la différence entre la peur biologique et la “peur mentale”.
La peur est une émotion qui, physiologiquement, ne peut pas durer plus de 90 secondes. Elle est essentielle pour notre survie depuis la nuit du temps puisqu’elle permettait à nos ancêtres de réagir vite face au danger.
Nous n’avons plus la même menace pour notre survie. Aujourd’hui, la peur biologique nous indique simplement ce qui nous tient à coeur et nous annonce souvent une sortie de notre zone de confort.
Elle est saine et doit surtout nous aider à nous mettre encore plus en mouvement pour créer ce qu’on a à créer en passant à l’action.
La peur mentale est une toute autre histoire et n’a rien d’émotionnel.
On appelle, à tort, “peur” toutes ces créations mentales qui sont en réalité des pensées et des illusions intellectuelles plus qu’émotionnelles :
- la peur d’échouer est une pression mentale que l’on s’impose à soi en se faisant croire que perdre est la fin du monde et que l’on risque notre vie ou celle de nos enfants.
- la peur du manque est une croyance mentale le plus souvent héritée du passé que l’on est libre d’alimenter ou de remplacer par la foi du divin qui, en réalité, ne nous laisse jamais tomber
- la peur d’être jugé est une illusion mentale dans laquelle on se fait croire qu’on est le centre du monde et que notre valeur humaine est menacée par le jugement d’autrui
Ce travail de redéfinition des peurs est essentiel et peut t’ouvrir les portes d’un succès sans limite.
Malheureusement, beaucoup de gens ne font pas cet effort et se contentent de citer de belles excuses à tout va et voient péniblement leur vie défiler.
Je te souhaite d’avoir le courage de les adresser et surtout de les dépasser pour révéler ton potentiel.
Le travail sur les peurs et le mindset de réussite est prévu dans le programme.
La révolution des créateurs indépendants et joyeux
Il y a cette croyance très forte qui me suit depuis tout petit et que je n’ai jamais abandonné :
Il est tout à fait possible de se réveiller chaque jour en faisant ce qui t’excite et t’anime le plus, tout en gagnant tout l’argent dont tu as besoin (et même plus que tout ce que tu peux imaginer).
J’ai écrit la fin de cette newsletter dimanche matin avec un bon verre d’eau chaude, une musique que j’adore et un grand sourire aux lèvres.
J’enchaînerai avec un déjeuner familial et les personnes les plus importantes de ma vie. J’irai ensuite me régaler sur une piste de Padel avant de me détendre le soir une fois encore avec les gens que j’aime et un bon livre avant de dormir.
Je travaille quand je veux, comme je veux. Toujours avec le sourire et une énergie intérieure qui me fait vibrer au point de me faire perdre le sommeil certains soirs.
J’organise mes journées à ma guise sans rendre de compte à personne.
Je ne sens pas que je travaille. Je suis en train d’oeuvrer pour l’humanité en essayant humblement d’apporter tout l’amour et le sens que je peux aux gens qui demandent mon aide.
Je ne sais pas comment tu définirais cette vie mais moi, en tous cas, elle me plaît grave.
J’ai la certitude que tu es capable de créer ta vie de rêve exactement comme tu l’aimerais. Et je vais te faciliter la tâche immédiatement.
L’entrepreneuriat, moins difficile que ce l’on croit ?
L’entrepreneuriat est moins compliqué que ce qu’on croit notamment ces 20 dernières années grâce au digital mais pas que.
Voici les 3 points clés que j’aimerais te partager et qui selon moi justifient un potentiel de succès entrepreneurial de plus en plus accessible :
- Le digital a redistribué les cartes de la distribution et la promotion : un business à succès, c’est un business où ton offre reçoit suffisamment de demande sur le marché. Le digital, notamment à travers les réseaux sociaux, a incroyablement facilité la création d’audience et de communautés donc plus de demande potentielle au final.Il faut vraiment comprendre cette folle réalité qui est la nôtre : on peut tous générer, sans coût financier, une demande (et donc avoir des clients) avec une dose de travail suffisante et les bons outils.
- Ta créativité est infinie notamment grâce à ton subconscient : quand tu quittes le mode du bon soldat salarié exécutant et que tu deviens un créateur de ton quotidien idéal, tu te rends assez vite compte que ta créativité n’a en fait aucune limite. Les idées d’offres, de contenus, de messages, de rencontres fluctuent dans tous les sens dans ton esprit.
Quand tu laisses à ton cerveau le repos suffisant, il puise dans la zone de l’inconscient où l’impossible devient possible et tu te rends compte que tu as en toi les ressources créatives et intellectuelles pour ne jamais manquer de rien.
- Ton énergie est maximale quand tu es spirituellement épanouie : l’alignement avec toi-même et ta mission de vie a un avantage concurrentiel hors norme. Celui de se réveiller avec une force et une énergie qui renversent tout sur leur passage. Trouver ce qui t’anime le plus au quotidien et passer à l’action pour rendre réelle ta vision t’offrira une confiance où tout devient envisageable.
Je sais. C’est une toute autre vie que je te décris ici. Et elle est bel et bien accessible à tous ceux qui oseront OSER.
Devenir un vaisseau de transmission
Je ne pouvais pas te laisser sans un plan d’action précis pour avancer sereinement si tu veux entreprendre sans aide extérieure.
Mon meilleur conseil est de croire en toi-même et d’investir sur toi pour ne pas perdre trop de temps à faire des erreurs que d’autres ont fait avant toi.
Si tu avances seul, voici ce que tu dois absolument savoir :
- Réalise d’abord un audit sincère de ta vie : est-ce que tu es heureux et épanoui en ce moment ? Tu te sens aligné au quotidien dans ton travail ? Qu’est-ce qui t’empêche de changer dès maintenant ?
- Evite le saut sans parachute en étant réaliste financièrement (surtout si tu veux entreprendre en ayant des responsabilités familiales). Commence par entreprendre 8 à 10 heures par semaine en parallèle de ton job et mets de côté au moins la somme correspondant à 3 mois de dépenses essentielles pour ta famille.
- Deviens un vaisseau de transmission pour l’humanité grâce au “trio de création” : choisis soit une compétence clé que tu maîtrises, soit une expérience de vie grâce à laquelle tu as beaucoup appris, soit un talent particulier que tu as et transmets les aux autres (tu peux bien sûr les combiner).
- Mets-toi au service au plus vite et avec stratégie : ton premier objectif est de vendre et de tester ton offre le plus vite possible sur le marché pour te confronter à la réalité et ne pas rester dans les prototypes et prévisions dans le vide.
Sois réaliste sur ton prix de départ (suffisamment élevé pour que tu sois tranquille avec peu de clients) et contacte tous les gens que tu connais et que tu pourrais aider. Pas de chichi injustifié. - Crée ensuite ton univers de transmission via du contenu gratuit. Produis à la fois du contenu à format court sur un seul réseau social au départ et du contenu à format long (je te recommande de lancer ta newsletter dès le premier mois d’existence de ton business).
- Fais une obsession de la satisfaction de tes premiers clients en t’assurant qu’ils vivent une réelle transformation dans leur vie (perdre 2 kgs en 2 mois est une transformation souhaitée par beaucoup de gens par exemple).
Si tes premiers clients deviennent des ambassadeurs, tu as déjà tout gagné. - (Bonus au bout de 8 – 12 mois) Elargis ton univers de transmission en créant plus de contenu pour faire grandir ton audience et distribuer tes messages encore plus.
Explore de nouvelles offres potentielles à lancer et innove autant que tu veux. Ton oeuvre d’art (i.e ton business) n’a aucune limite…
C’est tout pour aujourd’hui. Cette édition était complète. Je voulais commencer cette année en beauté et avec du concret.
N’attends pas que ce soit trop tard. Je t’en supplie. Ose créer. Ce monde a besoin de ton œuvre.
Cheers 💛
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